Sur la route

*Vous êtes partis des "Trois Eperons" (plus connu de village du Mont-Sion) après avoir trouvé un terrain d'entente avec les draconiens et détruit le Viel. Au passage le Mont-Sion, lui-même a explosé alors que les gardiens maîtrisaient l'énergie qui servait à faire barrière au Viel.

Votre but : les enfers, votre direction... Les terres elfiques, un passage vers un demi-plan entre les enfers et le plan primaire existerait chez eux.
Cela fait 2 mois que vous êtes partis, vous avez remonté tout l'empire vers le nord, le début de la route vous le connaissiez, vous l'aviez pratiqué pour aller sur l'île de Xerces, mais cette fois-ci vous continuez vers le nord, il fait froid, beaucoup trop froid pour une fin d'été, on essaye de vous ralentir, les forces qui sont à l'œuvre vous dépassent un peu, mais rien ne semble vous arrêter.
Dans tous les villages que vous croisez, les gens s'inclinent à votre arrivée, certains vous touchent comme pour avoir une bénédiction. Vous vous rendez compte durant ce voyage combien l'empire a souffert de ces guerres continues. Il y a dix ans de cela l'Empire était prospère et maintenant si la famine n'est pas encore présente le grand froid pourrait très bien la faire venir. Le peuple vous acclame, certains viennent avec leur maigres économies vous les offrir pour vous aider, cela pourrait être le pire des tableaux si il n'y avait pas l'espoir. Quand les gens relèvent les yeux vers vous une lueur d'espoir apparaît, des sourires se dessinent, vous le comprenez, vous êtes leur dernière chance, à ce moment précis vous ressentez comme un frisson qui vous traverse, l'émotion vous a envahi plus que vous ne le pensiez.

Puis vous arrivez dans le duché de Nortolon, le duché frontière avec l'Empire Elfe, il y a des elfes fous sur la route et dans les champs, les troupes sont arrivées avant vous et commencent à les renvoyer chez eux. Sur la route quelques combats, puis la frontière, des centaines d'elfes fous tentant de passer les défenses impériales. Les généraux savent le pourquoi vous êtes là, ils ont prévu une brèche pour le lendemain, vous passerez la nuit dans le campement. Si vous le désirez personne ne vous dérange dans votre tente mais si vous vous baladez vous croisez les blessés, les mutilés, les morts. Plusieurs d'entre vous viennent soigner et aider ces pauvres gens, vous surprenez des militaires en train de prier, ils relèvent la tête vers vous et s'inclinent en vous voyant. A ce moment précis, à nouveaux un frisson vous transperce mais cette fois-ci vous en êtes sur, ce n'est pas que l'émotion. Une énergie vient vers vous et maintenant elle émane de vous. Ceux qui étaient en train de soigner des blessés voient que leurs blessures guérissent, que les membres repoussent. Voyant ces prodiges le reste de l'armée se met à genoux, et la sensation s'intensifie, vous le comprenez c'est la force de leurs prières que vous recevez, puis soudain vous êtes fatigués, l'énergie vous quitte... mais vous l'avez senti, vous avez été prié, plus exactement , la flamme l'a été pendant un cour instant.

Le lendemain matin, après vous être remis (ou pas) de cette singulière expérience, voilà la brèche rapidement réussie: face aux guerriers impériaux galvanisés depuis hier soir les elfes n'ont guère tenu longtemps. L'armée a du coup repris le dessus et continue à repousser les elfes au loin. Vous quittez maintenant ces gens pour finir votre voyage vers les enfers.

Dorian ne cesse de vous guider, ces forêts semblent inextricables mais lui semble savoir où aller, mais à un moment une magie fait son oeuvre et les chemins deviennent plus complexes se ressemblent tous, quand tout à coup un elfe sort de sa cachette où il était dissimulé.*

*Il s'incline*
"Bonjour, je me nomme Entylas je suis ici pour vous guider à Volpius, le village entre les mondes. Suivez-moi je vous prie."

*À la sortie d'un des nombreux villages, juste avant Nortolon, Ecorce ne porte plus son bâton, ses derniers grelots étaient dessus. Il semble l'avoir échangé contre un sac remplis de victuailles qu'il a chargé ensuite sur un chariot de la caravane. Il affiche depuis un sourire satisfait. A quiconque le questionnera il répondra simplement : "Je n'en ai plus l'utilité, il est entre de bonne main" *

[To] Je voulais juste signifier ce détails, non pas troller le post avec le fait que mon pers n'a plus son bâton vu que de tout manière, TI,l'évènement est déjà passé[/To]

* arrivant l'air encore très affecté par l'épisode vécu hier et surtout par la fatigue qui en suivit, Tristan s'approche d'Ekorce, les vêtements encore bien marqués par les soins donnés toute la nuit dernière..

Ah bien le bonjour Ekorce, comment vas-tu ? moi je suis plus fourbu que jamais. J'avoue que je ne ressemble à rien * s'essuyant encore les mains et les bras rongées par énormément de traces de sang attachantes * mais bon peux-tu me rappeler où on va ? je ne sais plus trop bien et l'elfe qui nous a rejoint, là devant, on a raison de le suivre comme cela ?

*à Tristant, alors qu'il était en train d'éplucher une pomme, en coupe la moitié avec son couteau, le long de son pouce et la tend à Tristan*

Nous allons en Enfer Tristan, y descendre Cercle après Cercle pour faire face à Azazël. Le seul passage qui nous est accessible est chez les elfes.

oh merci pour la pomme, j'ai bien besoin de cela pour me remettre de ma nuit et pouvoir suivre la flamme...
Ah oui, les enfers, c'est vrai, comment ai-je pu oublier cette destination fabuleuse.... !
Mais peut-on vraiment se fier à cet éclaireur ? ce serait bête de se faire conduire droit dans une emuscade !
mais bon je suis vraiment naze et je vais seulement me contenter de suivre le groupe pour l'instant... je dois vraiment me reposer si je veux être efficace !

Ne t'inquiète pas trop des embuscades, Dorian et son aigle sont capables d'en éviter la plus part sans même que l'on se rende compte de quoi que ce soit.
Et puis cet elfe est le seul guide que nous avons sous la main.

oui oui Dorian est bien utile pour la Flamme, c'est un bon éclaireur !
Chacun a ses compétences propres et les utilisera de son mieux. Dans les enfers, nous n'aurons pas droit à l'erreur et nous aurons besoin du meilleur pour vaincre le pire.

Vous n'avez rien à craindre de moi. Je suis envoyé par le Scribe. Vous êtes ma dernière missions. Après cela mon fardeau aura disparu. Je ne voudrais avoir le votre.

Croyez-moi je ne vous veux aucun mal.

*se tourne vers l'elfe et lui répond sur un ton désabusé, la fatigue ayant eu raison du protocole et de toutes formules de politesse*
Jusqu’à ce qu'on arrive là-bas, ton fardeau est aussi le nôtre. Tâchons de faire en sorte que ta dernière mission soit une réussite.
Et à vrai dire, au point où nous en sommes, nous avons des problèmes en têtes bien plus important que de se soucier de ta loyauté...

Par simple curiosité, comme est ce que le scribe à pris contact avec toi? Moi il l'a fait un jour avec une pierre...et toi?

Ecoute moi bien, humain !

Que je te respecte sans même te connaître je peux l'accepter mais je ne me sens pas dans l'obligation de me faire rabaisser, premièrement sur l'importance de ma mission ou de ma loyauté... tu es un de ceux qui devrais comprendre que les guides sont des plus importants, deuxièmement même si vos exploits sont grands je ne pense pas que tu mérites le droit de me parler comme tu l'a fait alors que nous ne nous connaissons pas et que je vous guide. Vous propagez votre parole "Nous sommes un" mais il ne semble pas que tu veuille faire "UN" avec qui que se soit.

Si un humble guide *sourit* peut te donner un conseil, ne laisse pas le poids de ta route assombrir ton esprit et ton coeur... "L'ennemi est plus puissant ce n'est pas avec tes seuls bras que tu vaincra mais aussi avec ton coeur." Ce n'est pas de moi, c'est une phrase de Tohoal.

*Viens vers toi* Je n'aime pas me faire marcher dessus mais je suis un gentil. Enchanté, Entylas de la forêt de Lanianthan et tu es Ekorce c'est bien cela ?

*entendant le ton monter entre le guide Elfe et Ekorce, Tristan se réveille un peu et s'avance vers les deux protagonistes.

"Oh là, messire Entylas, n'en veuillez pas à Ekorce, il est de ceux qui parle franchement et sans la limite des convenances. Je me présente, je m'appelle Tristan Faniel, compagnon de la Compagnie des Songes. Je vous présente mes excuses pour se manque de confiance mais les combats livrés ici et l'endroit où nous devons aller m'ont fait être sans confiance.
Nous avons toujours eu de bons rapports avec votre peuple, il en sera de même entre nous, si vous le permettez.

Je vous remercie également pour vos sages paroles, Tohoal guide mes pas également et je suis un de ses plus fidèles agents.

Enchanté de faire votre connaissance.

*Surpris par la tournure que prend la discussion, se raidi. Présente ses mains ouverte paume tourné vers Entylas ,en signe de paix*
Tu te méprend, Entylas...à aucun moment mes intentions ont été de vouloir te rabaisser, je parlais franchement en te proposant de partager le fardeau que tu portes, et pour ce qui est de ta loyauté, je t'en laisses seul juge, je n'ai pas l’énergie d"en débattre maintenant, c'est ce que je voulais dire, si je t'ai vexé de quelque manière que ce soit, je m'en excuse. J'ai sans doute du mal à me faire correctement comprendre quand je suis fatigué.

Cependant...m'appeler "humain" alors que tu connais visiblement mon nom, n'est pas vraiment très engageant, le fait de me préjuger comme te le fait non plus.

Mon cœur et mon esprit sont on ne peu plus clair,Rhéa m'en est témoin.
Là où nous en sommes il n'y a plus de place pour le doute ni la peur, pas après tout ce que nous avons traversé et sacrifié. Ne juge donc ni mon cœur ni ma foi, avant de les avoir vu de tes yeux, j'en ferai de même vis-à-vis de toi, Entylas.
Repartons sur une bonne base...

*inspire profondément et expulse l'air de ses poumosn en une courte expiration, comme pour chasser un peu du poids de la fatigue*

Enchanté Entylas...je suis bien Écorce.
Alors dis moi, le Scribe,comment a t'il pris contact avec toi?

(edit: To désolé pour le timing, le temps que je tape mon post, tristan avait répondu)

Enchanté Tristan, il n'y a rien à excuser, c'était juste une mise au point. Mais détrompe toi Tohoal ne guide pas mes pas, mais je respecte qui il est.
Je te remercie cependant de ta volonté de vouloir calmer la discussion.

*après qu'Ekorce aie parlé*

J'étais perdu dans la vie, un hors-la-loi parmi les miens, injustement condamné pour des faits que je n'avais pas commis. J'allais tout quitter quand un moine de l'ordre de l'illumination est venu me voir. Il m'a dit que j'avais une destinée, que mes problèmes était une opportunité. Et tel à été le cas, depuis je vis dans ces bois avec une communauté d'elfe qui se refuse à la démonologie. Ces bois sont protégé par de puissant sortilèges te faisant tourner en rond si tu ne sait pas par ou passer. Ainsi ma communauté à toujours été à l'abri. Et maintenant je vois notre utilité. Nous sommes un des seuls bastions elfe qui tienne encore le coup façe aux Demelfs et beaucoup de rescapper vienne nous rejoindre. Mais ce n'est pas à mon village que nous allons, c'est à Volpius. C'est pour ce village qu'on été crée les protections.

Entylas a écrit: Nous sommes un des seuls bastions elfe qui tienne encore le coup façe aux Demelfs

Les Demelfs ? Elfes démonistes ? Comme tu peux le constater je ne connais pas grand chose au sujet de votre culutre, peux t'on profiter du voyage pour combler cette lacune?

* s'adressant aux 2 personnes

Très bien tout ça, c'est que comme Ekorce je ne connais pas grand chose de votre peuple, pourriez vous m'en dire plus. Et pour notre destination, en savez-vous plus ?

* pour le guide

Tohoal est mon guide et je sais plus que jamais qu'il est présent. Même s'il n'agit pas par toi, il l'a sûrement été pour le choix qui t'as mis sur notre route. Ce que nous voulons réaliser rejaillira sur tous les peuples.

les Demelf, c'est le nom qu'on donne aux nôtres qui sont devenus fous, les miens jouaient avec les dettes de tous ces pactes, se les transférant, l'un l'autre, surenchérissant pour ne pas avoir à payer tout de suite. Ils se pensaient les maîtres du jeu mais les démons ont été contraint par un supérieur à prendre leur dû quant au pacte passés, normalement ils ne l'auraient pas fait, ils n'y gagnent rien s'il n'ont pas l'âme entière d'une personne. Mais tout cela n'a plus d'importance.

Un grand peuple a disparut. Nous avions un gouvernement ou chacun était représenté, ou le fait même de gouverner était un apprentissage de la vie. Une symbiose parfaites entre deux races que tout opposaient et qui se sont révélées comme n'étant qu'une seule. Nous vénérons nos ancêtres et surtout Neroon, celui qui nous a unis, il reside maintenant en Rhéa. C'est ainsi que les elfes du bois de Lanianthan suivent Rhéa dorénavant, nous trouverons une nouvelle voie pour les elfes.
Voilà ou en est la culture de mon peuple aujourd'hui ! *La colère et la tristesse se lisent en lui, mais aussi une incroyable fierté, le prendre en pitié le froisserait probablement*

* Comprenant le ton employé par Entylas, s'approche de lui de manière calme et sereine ...
Je comprends vos sentiments et je les partage. Nombre d'entre nous ont perdu des êtres proches. Moi-même j'ai perdu tous les miens et il ne me reste rien de mon passé. Mais, vous êtes un digne représentant de votre peuple et tant qu'il restera des elfes vivants, le peuple des elfes sera présent, fort et fier.
Nous nous dirigeons vers notre destin pour combattre celui qui a rendu fous les Demelf. Peut-être pourrons-nous sauver quelques uns des tiens. Espérons-le.
Que Tohoal nous guide et nous prête sa force.

Je ne pense pas que vous vous souciez vraiment des miens ! En fait je fais ce qu'il m'a été demandé , je comprends l'importance de votre mission et le sacrifice de soi que vous faites, mais je ne peux contenir la rancœur que j'ai envers la flamme de Derdre.

Entylas a écrit:Je ne pense pas que vous vous souciez vraiment des miens ! En fait je fais ce qu'il m'a été demandé , je comprends l'importance de votre mission et le sacrifice de soi que vous faites, mais je ne peux contenir la rancœur que j'ai envers la flamme de Derdre.

Toutes la Flamme? Pourrait-on connaître la raison de cette rancoeur? Non pas que nous sommes irréprochable, loin de là, mais je préfère avoir le coeur net quant à toutes les conséquences de nos choix passés.

Euh, se soucier des autres ? oui c'est mon engagement depuis longtemps et je crois que vous mélangez les genres. En tant que chirurgien de la Route et membre de la compagnie des songes, le regard est porté vers les autres et le soin de toutes les populations.
De plus, vous parlez d'une rancœur envers la Flamme ? je ne suis pas le plus illustre de ses représentants loin de là mais je ne vois pas à quoi vous faites allusion.
En fait, vous me semblez bien aigri Messire Entylas et je vous laisse à vos querelles.
* rassemblant ses affaires, Tristan repart vers l'arrière de la troupe...

* à Ekorce*Les miens se sont fait attaqué par les enfers de deux manières l'une est liée au pactes l'autre à un double pintacle de furie, sans cette deuxième mon peuple aurais pu contenir la première.

Vous avez, vous aussi rencontré le problème du double pentacle et une des nôtre est venue vous aider... Un démon la menacée de détruire notre peuple si elle vous venais en aide. Elle n'en a pas tenu compte et vous a aidé quand même.

Puis quand tout était fini elle a demandé au nom des elfes l'aide de la flamme concernant ce double pentacle... mais vous étiez occupé à sauver les votres.

Comprenez-moi, je ne vous en veux pas vraiment, je ne suis pas en colère... J'ai une rancoeur peut-être injustifiée... Je sais que vous n'êtes pas resté oisif à regarder mon peuple mourrir. Vous aviz du travail devant vous. Je sais... Je sais.

*A Tristan*
Aigri ! oui, je le suis.
Mais je ne suis nullement agrésif; je suis juste honnête, vous auriez préféré l'hypocrisie ?

Cette rancœur, c'est un fardeau.
Je comprend que tu sois triste, mais adopter ce sentiment en toi, c'est déja donner une victoire à Azazel, toutes ces situations où nous nous sommes retrouvé à devoir choisir entre deux maux, ce sont des pièges qu'Azazel nous a habilement tendu, nous les avons tous prit en plein dans le figure. C'est une punition en soit, son but est de semer le doute, la peur et la rancœur aussi, y céder c'est déja perdre.

J'ai une petite histoire qui me vient en tête, je ne vais certainement pas te la raconter aussi bien que mon ami Shmendrick...

Deux moines ascètes font le voyage de leur monastère vers le ville la plus proche pour faire l'aumône au marché, sur le chemin une rivière de boue coupe le chemin de part en part, rien d'insurmontable à première vue puisqu'il suffit de la traverser à pied.

Mais une belle jeune fille se tient devant l'obstacle et de peur de tomber dans la boue et salir sa belle robe, refuse de traverser.

Elle demande poliment de l'aide aux deux moines pour traverser le rivière.
Le premier refuse, il n'est pas convenable de toucher une fille, toute promiscuité avec le sexe opposé étant interdite dans son ordre.
Le second propose son aide à la jeune fille, la porte sur ses épaules, traverse la rivière de boue et la dépose au sec de l'autre côté, sous le regard sévère et désaprobateur de son frère.

La fille les remercie chaleureusement et s'en va sur une route différente.

Les deux moines continuent leur chemin vers la ville,mais l’atmosphère est lourde, le premier moine refuse d'adresser la parole à son comparse.

Arriver en ville, enfin le premier moine ne tiens plus et s'adresse à son frère.

-Tu n'aurai pas dû toucher cette fille comme tu l'as fait, la porter comme ça contre toi pour la déposer sur l'autre rive ça ne se fait pas!

Son frère, calmement, lui répondit:

-Étrange que tu me reproches ça, toi tu l'as porté jusqu'ici.

Joli prechi-precha, mais ça ne change rien, humain.

Mais parlons d'autres choses, je ne suis pas venu ici pour vous blâmer.

Je vais vous parler du village de Volpius. Au moins cela vous sera utile.

Ce village est le "bastion" de ceux que vous appelez les Gardiens de l'Equilibre et des Auraz.

Les elfes y ont un petit conseil pour tout ce qui touche à la barrière et au-delà de celle-ci, les gardiens ne s'occupant que de ce qui passe dans le plan primaire.

Vous y trouverez des personnages particuliers, mais beaucoup moins de gens qu'autres fois, la quasi totalité des guardiens de l'equilibre sont soit en mission soit mort.

*visiblement surpris*
Bien, merci pour l'information...

Sur ce je te laisse, je te trouve particulièrement désagréable, j'ai mieux à faire que de perdre mon temps à t'écouter te plaindre et nous manquer de respect.
Rhéa te garde...

*ralentis le pas, pour le laisser passer devant, se retourne et s'en va rejoindre ses compagnons de marche à l'arrière*

*semble déçu*

Rhéa vous garde, vous aussi.